Catégorie : Affaire Dreyfus (1894 à 1906)

15 octobre 1894 : arrestation du capitaine Dreyfus

L’écriture de Dreyfus ressemblant fortement à celle couvrant un document retrouvé chez l’attaché de Défense allemand à Paris conduit à l’arrestation du capitaine. (suite…)
5 janvier 1895 : dégradation du capitaine Dreyfus

Dans la cour de l’École militaire et sur le front des troupes, le capitaine Alfred Dreyfus est dégradé après avoir été reconnu coupable de trahison au cours d’un procès bâclé et truqué. Grâce, dans un premier temps, à l’acharnement de (suite…)
13 janvier 1898 : « J’accuse … ! »

Après que le capitaine Dreyfus a été condamné et dégradé en 1894, le véritable auteur du bordereau, preuve centrale du procès, est identifié. C’est le commandant Esterhazy, qui est alors traduit en conseil de guerre. Le 11 janvier, il est (suite…)
12 juillet 1906 : réhabilitation d’Alfred Dreyfus (par un arrêt de la Cour de cassation)

Condamné à la “destitution de son grade, à la dégradation militaire et à la déportation perpétuelle…” en décembre 1894, le capitaine Dreyfus est jugé une seconde fois en 1899, après 4 ans de bagne. Condamné à nouveau, il obtient la grâce (suite…)
12 juillet 1935 : mort du lieutenant-colonel Alfred Dreyfus (Paris)

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30 août 1898 : aveux puis suicide du lieutenant-colonel Henry (affaire Dreyfus)

La véracité des documents accusant le capitaine Dreyfus finit par être remise en cause par le Ministre de la Guerre, Cavaignac qui au cours d’un entretien avec le lieutenant-colonel Henry obtient les aveux de ce dernier. Henry se tranche la (suite…)
19 décembre 1894 : début du procès du capitaine Dreyfus (Paris)

Arrêté le 15 octobre après qu’un bordereau retrouvé dans les corbeilles de l’ambassade d’Allemagne par une femme de ménage espionne a confirmé la crainte qu’un traître communique avec l’ennemi. Le capitaine Dreyfus devient suspect puis “coupable”. Il correspond au profil (suite…)
22 décembre 1894 : Dreyfus condamné pour trahison

Après 3 jours de procès, le capitaine Alfred Dreyfus, arrêté en octobre pour espionnage, est jugé coupable de trahison sur la base de déclarations et documents qui seront plus tard (à partir de 1896) totalement invalidés. Il est condamné « (suite…)